Lorsque l’enfant n’a pas eu suffisamment de stimuli extérieurs le mettant en contact avec l’objet, il a des difficultés à « appréhender » le mot et à le retenir.
Il est nécessaire, pour Mesker, de passer par l’étape sensori-motrice pour acquérir le mot, donc le langage.
Le fait d’expérimenter le MOI et l’objet donne le mot dans sa forme primaire (gestalt); la forme secondaire de ce mot provient de l’ensemble de l’expérience du mouvement de la parole et de l’expérience du son de ce même mot lorsqu’on le prononce ou l’entend, ou le répète.
« La richesse de notre langage dépend surtout de l’expérience de nos mains »
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